L'arjolle au fil des ans

Au fil des ans à l’Arjolle

2021

LA FAMILLE DE L’ARJOLLE AUJOURD’HUI

La famille des associés de l’Arjolle s’agrandit en 2021 avec l’arrivée de Juliette Duby (fille de Charles). Nous sommes désormais 6 associés impliqués au quotidien sur l’Arjolle avec nos équipes.

LA FAMILLE DE L’ARJOLLE AUJOURD’HUI
Au fil des ans 2014, Nouvelle dynamique à l'Arjolle

2014

NOUVELLE DYNAMIQUE

En 2014, Simon Teisserenc (fils de Louis-Marie et frère de François) et Geoffroy de la Besnardière (stagiaire en 1995 et ami de l’Arjolle) intègrent le domaine en tant qu’associés.
Une nouvelle dynamique commerciale et marketing est lancée.

2004

NOUVELLE GÉNÉRATION

En 2004, Roch Teisserenc (fils de Prosper et frère de Roland) et François Teisserenc (fils de Louis-Marie) s’installent comme associés et amènent un vent de nouveautés tant dans les vins que sur le vignoble.

NOUVELLE GÉNÉRATION
Au fil des ans 2001, le chai à barriques

2001

UN CHAI À BARRIQUES

Devant l’engouement des acheteurs pour les vins de l’Arjolle élevé en barriques, un chai d’élevage avec plus de 1 000 barriques est inauguré en 2001 en même qu’une chaîne d’embouteillage moderne.

2000

TERRA VITIS CERTIFIE L’ARJOLLE

Grâce à une profonde réflexion sur l’agronomie et la mise en place d’actions respectueuses de l’environnement, l’Arjolle est certifié Terra Vitis, charte d’un viticulture durable et responsable reconnue par le Ministère de l’Agriculture.

Au fil des ans 2000, terra vitis certifie l'Arjolle
Au fil des ans 1985-86, de nouveaux associés

1985 – 1986

TROIS NOUVEAUX ASSOCIÉS

En 1985, Charles Duby (beau-frère de Louis-Marie) et Guilhem de Fozières (neveu de Prosper et Louis-Marie) viennent renforcer l’équipe des associés. En 1986, c’est au tour de Roland Teisserenc (fils de Prosper) de rejoindre les associés.

1978

PREMIÈRE MISE EN BOUTEILLE

Les efforts fait à la vigne et la cave depuis 1974 sont récompensés par une première mise en bouteille avec le millésime 1978. La première d’une longue série !

Au fil des ans 1978, premiere mise en bouteille
Louis-Marie Teisserenc son épouse Marie-Pierre
Prosper et Rolande (photo 1974)

1974

CRÉATION DU NOUVEL ARJOLLE

Le domaine de l’Arjolle renaît en 1974 sous l’impulsion de Prosper et Louis-Marie Teisserenc (petits fils d’Augusta et d’Ernest). Avec le soutien indéfectible de leurs épouses Rolande et Marie-Pierre, ils se lancent dans cette belle et exigeante aventure viticole.
Les deux frères vont entièrement transformer l’exploitation existante et, avec un esprit pionnier, créer un nouveau Domaine de l’Arjolle. Les objectifs sont dès l’origine centrés sur des piliers essentiels que sont la qualité, la diversité et la confection de vins plaisirs, valeurs toujours prédominantes pour les associés d’aujourd’hui.

1905

L’ARJOLLE S’ÉTEND SUR POUZOLLES

En 1905, Augusta Gottis (fille de Charles) épouse Ernest Bellet qui apporte dans son mariage les vignes, la cave et la maison dont il est propriétaire sur le village de Pouzolles. Le Domaine de l’Arjolle s’étend désormais sur Geniez-le Bas et sur Pouzolles.

Au fils des ans 1905, l'Arjolle s'etend
Au fil des ans 1881, Une distribution de vin d'avant-garde

1881

UNE DISTRIBUTION D’AVANT-GARDE

En 1881, Charles Gottis, avocat, hérite de ses parents, Amédée et Mélanie, du Domaine de l’Arjolle. Il a 23 ans. Il va à la fois développer le domaine de l’Arjolle et traverser une période très tourmentée pour le vignoble languedocien. Dès 1880, le phylloxéra, petit puceron venu d’Amérique, détruit tout le vignoble européen. Il faut arracher et replanter les cépages locaux sur un porte-greffe issus de plants américains naturellement résistants au phylloxera. Soutenu par son épouse Emma, il va faire preuve d’une grande ténacité et met en place une commercialisation directe d’avant-garde.
Profitant de la nouvelle ligne de chemin de fer qui, à partir de 1888, relie Béziers jusqu’à Neussargues (Cantal), il fait expédier ses vins dans des fûts de 220 litres sur des wagons depuis la gare du village de Magalas (à 4km du domaine) située sur cette ligne. Avec un siècle d’avance, il propose sa production aux consommateurs finaux qui sont, à l’époque, les agriculteurs du centre de la France.

1842

UN MARIAGE ET UN DOMAINE

En 1842, Amédée Gottis a 45 ans et il se marie avec sa cousine germaine Mélanie Durand qui appartient à une vieille famille de St Geniez-le-Bas (aujourd’hui St Geniès-de-Fontedit). Mélanie apporte en dot les vignes, la cave et la maison familiale appelé Domaine de l’Arjolle sur ce même village.

- La carte d’état-major 1820-1866 avec St Génies (photo 1842)